dimanche 28 octobre 2012

Votre maison négawattée par LAO energie


Petit retour sur ce blog pour mettre le lien vers le site de LAO Energie, bureau d'étude thermique du bâtiment  qui est la boîte que mes amis Arthur et Romain ont monté pour aider particuliers et professionnels à concevoir des bâtiments individuels ou collectifs, neuf ou en rénovation, en optimisant les dépenses d'énergies et le confort, dans le sud-est de la France.
Tout cela dans l'esprit du scénario Négawatt.

dimanche 5 décembre 2010

Nouveau Blog

Voici mon nouveau blog http://jemislidee.blogspot.com/

dimanche 10 octobre 2010

C'est fini !

Pas de nouvelles depuis le mois de juin...
Beaucoup de changements...
Pour une espèce menacée qui a envie d'exister, la métamorphose s'impose !
Pour moi, c'et fait ou c'est commencé plutôt.
Du coup j'ai émis l'idée de faire un nouveau blog et d’arrêter celui-ci, un blog avec des articles sur la musique, les concerts, les jeux, l'éducation, le développement personnel, la simplicité volontaire, les médecines alternatives, la cuisine, l'actualité, la lecture... et des billets d'humeur plus personnels.

lundi 28 juin 2010

Pas contente !

Jeudi 1er Juillet
Grève des auditeurs de France Inter
nous n'allumerons pas la radio
Et nous le ferons savoir soit :
par écrit : Radio France, 116 avenue du président Kennedy, 75220 Paris cedex 16
sur le site internet de la station : http://sites.radiofrance.fr/franceinter/radio/ecr/
en téléphonant aux relations auditeurs (3230) ou directement au 01 56 40 36 20
plus un petit email à Philippe Val : philippe.val@radiofrance.com


La fin de certaines émissions et de chroniques sur France Inter est une bien mauvaise nouvelle.
Non pas l'arret de celle d'Yvez Calvi, qui était ennuyeuse à mourrir, mais la fin des chroniques de Didier Porte et de Stéphane Guillon, de l'émission "Et pourtant elle tourne".
L'impertinence, la différence font de France Inter une radio qu'il est bien agréable d'écouter en ces temps politiques obscures.
Sauf que, le controle de la presse par nos gouvernants et leurs leurs amis, vient faire de gros dégats dans cette radio et dans notre démocratie.
J'aimais me dire ces matins que, tant que j'écoutais, sur France Inter, des chroniques dénonçants avec humour et finesse, la plupart du temps, les dérives du pouvoir actuel, je vivais encore dans un pays libre...
Sur le site intenet "Pour une radio publique indépendante", vous pouvez signer une pétition en ligne.
Un rassemblement est prévu jeudi 1er Juillet à 18h devant la maison de la presse à Paris et devant le slocale sde France bleu en province.

Radiothérapie Guéret

Départ en covoiturage de Guéret (place Bonnyaud) mardi 29 juin à 8h15 pour aller devant le tribunal administartif de Limoges où le référé pour la fermeture passera en séance à 10h.
Rassemblement à 18h30 devant l'hopital de Guéret mardi 29 juin à 18h30.

vendredi 25 juin 2010

Pensée

"Quand on cueille une fleur, on dérange une étoile. »

When to the new eyes of thee
All things by immortal power,
Near or far,
Hiddenly
To each other linked are,
That thou canst not stir a flower
Without troubling of a star.
Francis Thompson

Parce qu'il existe un médecin, inqualifiable, adossé à son flanc de colline qui préfère soigner avec des aiguilles, des livres et des citations...

lundi 21 juin 2010

Du vague à l’âme du formateur

Lettre d'un enseignant formateur (désolée c'est long mais je ne parviens pas à couper, tout est intéressant) :

"Instituteur puis PE depuis une vingtaine d’année, je suis depuis 6 ans PEMF, spécificité professionnelle que j’ai exercée cinq ans après l’obtention du CAFIPEMF dans lamême école qui avait vu naître les prémices de notre pédagogie car mes collègues ayant aussiréussi ce passage obligé, l’école est devenue école d’application. Après 10 ans de carrièreenviron, j’arrivais enfin à prendre du recul sur ma pratique professionnelle, aidé, il est vrai, parl’ensemble des collègues de l’école. Six années durant, j’ai essayé de participer à la construction de l’identitéprofessionnelle de plusieurs collègues lors de stages, d’interventions à l’IUFM, de visiteshumblement, modestement, maladroitement même, mais toujours avec une énergie et uneconviction d’un tuteur qui souhaite ardemment la réussite de l’autre. Pendant ces six années,cette spécificité professionnelle a indubitablement fait de moi un autre enseignant. De cetterelation avec tous ces étudiants, ces collègues, c’est certainement moi qui ai le plus appris. A force de défendre des parti-pris, je les ai davantage développés et ai essayé de les mettre plusefficacement en œuvre avec mes élèves. J’ai toujours travaillé avec ces jeunes collègues avecbeaucoup d’humilité — du moins je l’espère — sans considérer que mon statut de formateurfaisait de moi un « penseur unique » de la pédagogie. J’ai vécu intensément ces six années,rencontrant à chaque fois des gens formidables, passionnants et passionnés. Aujourd’hui, je suis à la croisée des chemins et je dois prendre une décision. Face àcette mascarade de formation, dois-je continuer ou bien retourner, comme la majorité decollègues, à plein temps devant mes élèves ?En toute conscience et malgré le manque que cela va me créer, je retourne dans maclasse, abandonnant ainsi mes fonctions de formateur. Nous n’avons plus à démontrer que lafuture formation dans laquelle on nous demande d’intervenir est catastrophique, beaucoupd’experts reconnus ont déjà tout dit. Je ne peux admettre de participer à ce simulacre, decautionner de manière détournée la mort de l’enseignant et par voie de conséquence ladétérioration future de notre école et ses « dommages collatéraux » au niveau de nos élèves.J’entends déjà ici ou là ceux qui diront que le bateau coule et que les rats quittent lenavire. Je partage pleinement ce point de vue, au moins pour le premier terme. Effectivement le bateau coule, nous en sommes tous conscients. Je préfère alors me torpiller, même s’il est vraique le naufrage de ma petite coque de noix ne provoquera pas de remous. Mais imaginez uninstant que nous nous torpillions tous ensemble ; que dans un même élan collectif, le navire seretrouve sans matelot et sans capitaine. Quelle onde de choc cela provoquerait auprès del’opinion publique, des parents, de nos collègues, des MAT ! Car cette fois-ci, ce ne seront pasles “experts” qui expliqueraient avec force que cette formation est une dangerosité extrême pournos élèves, nos enfants, mais les acteurs de terrain, ceux qui depuis des années participent dansleurs classes au quotidien à cette formation ; quel tsunami ! Alors oui, le bateau coule, et vouloir récupérer un misérable canot dans l’espoir de sauver ce qui pourrait l’être est non seulement untantinet prétentieux, mais également vain. L’aspiration sera telle qu’elle nous entraînera assezfacilement dans les abysses. Pour rester dans la métaphore animalière, je préfère nettement être un rat qu’une taupe,petit mammifère connu pour sa myopie légendaire. Comment ne pas voir en effet que nous allons cautionner par notre présence ladestruction d’un nouveau pan de l’école publique via la formation des enseignants ? Après lesnouveaux-vieux programmes comme le dit Pierre Frackowiack, après la mise en place de l’aidepersonnalisée et autre pis-aller faisant croire aux parents que l’enfant/élève reste au cœur dusystème, après des évaluations sans fondement pédagogique et avant la mise en place éminentedes EPEP, jusqu’où sommes-nous prêts à aller dans notre aveuglement manifeste à laisser faire ? Allons-nous continuer indéfiniment à critiquer ces mesures lorsque l’on se retrouve au coind’une table, mais en même temps à les accompagner sous le prétexte fallacieux que sans nous ceserait pire ? Devons-nous toujours travailler dans une logique minimaliste ?Comment ne pas voir encore que ce nouveau pilotage ne nous laissera que très peu demarge de manœuvre et que nous allons devenir de simples exécutants d’une politique deformation que nous réprouvons tous ? Dans ce petit jeu là, nos collègues DEA seront en premièreligne. De moins en moins dans leur école à animer une équipe, mais le pire sans doute : dans cette obligation institutionnelle de loyauté qu’ils auront envers l’IA, de servilité comme aimerait à le dire P. Frackowiack. Qui alors sera en capacité de résister à cela ? Il ne pourra en résulterque des tensions entre nous.Comment ne pas voir encore une fois que cette logique du management du personnelde l’entreprise privée va s’appliquer avec maestria chez nous aussi ? Regardons comment sontpressés les cadres intermédiaires dans une entreprise : le « toujours plus » sera érigé en règle et nos actions se multiplieront, avec des conséquences négatives aussi bien au niveau de notrecapacité à « bien faire » la classe à nos propres élèves, qu’au niveau de la qualité de « l’offre »pour nos futurs collègues en formation. Inévitablement, cela génèrera encore plus de tensions dans les écoles. Comment nos collègues DEA vont-ils pouvoir gérer cela ? Certes, DEA ils ne leresteront plus longtemps car pour l’être faut-il encore que les écoles de formation demeurent. Or le projet de la nouvelle circulaire est très claire : « Il [le PEMF] est titulaire d’un posted’enseignant dans une école. » là où il était auparavant : « […] titulaire d’un poste dans uneécole associé à la formation initiale »(écoles annexes et application). Si le texte reste en l’état,la messe est dite : exit la formation professionnelle, exit les formateurs de terrain. Comment ne pas voir encore et toujours que le nouveau dispositif pour les stagiairespeut réellement mettre nos élèves en difficulté ? Durant les sept premières semaines de l’année,nous allons accueillir dans la Loire et probablement dans d’autres départements, des collègues enformation. La rentrée est pour tout enseignant un moment important de l’année. Il institue saclasse, permet à l’élève de prendre de nouveaux repères, met en œuvre des habitudes defonctionnement, sécurise les plus angoissés tout en cadrant les plus agités. Quelle(s)disponibilité(s) allons-nous avoir pour faire face à tout cela ? Expliquer notre pratique à noscollègues, vous le savez tous, demande du temps et de l’énergie, être sur ces deux fronts à la foisest suicidaire pour tout le monde. Nos élèves n’ont pas à payer pour les dysfonctionnementsfuturs. Comment ne pas voir, enfin, que nous allons connaître un dernier soubresaut, tel lenoyé avant sa mort définitive ? Nous sommes indispensables maintenant, justement parce que les chaloupes ont besoin de regagner la rive, mais une fois fini de le temps de l’accostage, nous finirons tous en simples Robinson. Dans sa logique budgétaire, ne serait-il pas plus rationnel d’utiliser nos collègues MAT plus « économes » ? Là encore, la nouvelle circulaire ne laisseplaner aucun doute sur les nouvelles missions de ces collègues MAT. Ces dernières sont élargies : « […] assurer l’accompagnement et le suivi de stagiaires en responsabilité »,missions qui rappellent étrangement celles dévolues jusqu’à présent aux PEMF jusqu’au jour oùelles se substitueront complètement ! Et tout cela sans structure d’école, sans prime et sansdécharge. J’aurais ô combien aimé que nous puissions d’une même voix porter ce combat-là. Je sais pertinemment qu’une « démission » collective, même nationale, des PEMF n’aurait pasentraîné de facto un changement ministériel sur la formation, mais je pense qu’elle aurait pu aumoins susciter une surprise, un étonnement ou pour le moins une interrogation dans lapopulation. Mais dans tous les cas, pour certains d’entre nous, cela aurait permis de mettre nosactes en phase avec notre pensée. N’oublions jamais, comme le soulignait dernièrement AndréOuzoulias, que même avec la plus grande volonté du monde, il sera difficile de tout reconstruire. Lorsque le ressort est cassé…Ce texte, forcément provocateur mais si proche de la réalité, est là pour vous dire qu’ilest grand temps de sortir de notre torpeur. Pour vous signifier aussi que cette décision m’attriste(je sais ce que je perds) et aussi pour vous signaler que l’on se sent mieux lorsque l’on met ses actes en conformité avec sa pensée. J’ai apprécié et appris aux contacts de tous ceux que j’ai croisés pendant ces six années. Merci."

mardi 15 juin 2010

Le cauchemar américain

L'extrait du LEAP 2020 de juin 2010 est paru. En voici un extrait qui nous renseigne sur la situation socio-économique des Etats-Unis comme en entend pas parler ailleurs :

"Cette crise au niveau des collectivités locales et des états est éclipsée par les problèmes des déficits fédéraux. Pourtant, elle est l'autre face de la même pièce, et une face qui va montrer dans le courant du second semestre 2010 qu'elle possède un double caractère explosif : électoral, comme le montreront les élections ; et financier, comme le prouveront les conséquences de la crise prochaine du marchés des « Munis », les titres des collectivités locales US.

Pour LEAP/2020 la situation est pourtant claire : l'environnement direct d'une grande majorité d'Américains n'a cessé de se dégrader depuis 2008 quoi qu'en disent les statistiques et les experts fédéraux. Le chômage réel se situe au minimum entre 15% et 20% et atteint 30% à 40% dans les villes et régions les plus touchées par la crise. Jamais autant d'Américains n'ont été dépendants des bons d'alimentation du gouvernement fédéral qui contribue désormais à un niveau jamais atteint aux revenus des ménages US. Parallèlement, les Etats sont obligés de multiplier les coupes budgétaires et la suppression de services sociaux en tout genre, aggravant du même coup le chômage. Et ces phénomènes se déroulent alors que l'impact du plan de stimulation économique de l'administration Obama est censé être à son maximum !

Il n'y a donc pas de quoi être surpris en apprenant que la consommation des ménages ne décolle pas, voire régresse, comme le montrent les ventes de détail du mois de Mai ; et que le marché immobilier continue sa descente aux enfers. Les indicateurs avancés les plus fiables montrent d'ailleurs que l'économie américaine va repartir en décroissance au second semestre. Loin des 3,5% de croissance annoncés par Ben Bernanke pour 2010, le pays sera bien chanceux selon notre équipe s'il enregistre un chiffre au dessus de zéro pour l'année en cours.

Car, contrairement au discours de Washington et Wall Street, l'austérité est en fait déjà là pour la grande majorité des Américains qui n'ont plus de travail, et/ou plus de maisons, et/ou des dettes supérieures à leurs actifs, et qui ne peuvent plus payer l'université, les sorties et/ou les vacances à leurs enfants, sans même parler de la consommation quotidienne. En plus, dans de nombreuses localités, ils n'ont plus de ramassage de poubelles fréquents (ou bien ils doivent payer plus de taxes), ils ont perdu une journée de distribution du courrier, ils sont moins protégés faute de policiers, ils doivent faire des queues interminables aux guichets des administrations suite au licenciement des fonctionnaires, et leurs enfants ont moins d'enseignants dans des écoles qui offrent moins de services (cantine, ramassage scolaire, …). En terme collectif, ce sont donc les collectivités locales et les Etats qui mettent de facto en place une politique d'austérité cachée à l'international depuis de nombreux mois déjà, et qui s'accélère."

On peut également lire que l'austérité mise en place en Europe et donc le refus de créer de nouvelles dettes pour relancer l'économie condamne l'économie américaine à une crise majeure puisque celle-ci ne produit plus que de la dette.

samedi 12 juin 2010

Citation dédiée à Mme CB et son compères

"Les institutions passent par trois périodes : celle
des
services, celle des privilèges, celle des abus."
François René de Chateaubriand

Et si nous en étions aux abus...


jeudi 10 juin 2010

Rassemblement pour le service de radiothérapie de Guéret

Rassemblement les 16 et 18 juin 2010 à Limoges à 10 h

Pour :

· Le maintien du service de radiothérapie

de Guéret

· Le maintien des missions de service public et de l'’accès aux soins de qualité pour tous.

· Le respect des droits et libertés


Départ à 8 H 30 le 16 juin, en car, devant la mairie de Guéret.


Départ à 9h30, devant l'école d'infirmières le 18 juin pour soutenir la grève du personnel médical.


INSCRIPTIONS AU : 05 55 51 87 21 ou au 05 55 52 06 46

Le samedi 19 juin, un appel au rassemblement, devant la mairie de Guéret à 10h30, est lancé par la majorité du conseil général de la Creuse à l'attention des élus et des citoyens creusois.