dimanche 9 mai 2010

Quand "bon appétit" devient "bonne chance"


A lire sur mediapart :
Une étude russe menée sur des hamsters nourris au soja OGM pour certains, conventionnel pour d'autres pendant 2 ans annonce ses résultats : au bout de 3 générations les hamsters nourris au soja OGM ne peuvent quasiment plus se reproduire, parmi les quelques petits qui sont nés et qui ont survécu certains avaient des poils dans la bouche !!
L'étude sera publiée en juillet prochain.
Pour lire l'article et en savoir plus sur le protocole et les éventuelles conséquences de cette étude; cliquez ici.


2 commentaires:

  1. Je ne sais pas jusqu'à quel point nous serons capables de laisser faire, sans broncher, nous, la race des hamsters, menacée d'extinction par la folie de quelques hommes avides, inconscients, méchants ...
    Nous sommes innombrables et pourtant impuissants ...
    Il me semble qu'avant, un problème se heurtait aux frontières et qu'alors il devenait gérable ...
    Désormais,la mondialisation fait que toute folie humaine circule, se propage très vite dans un monde où les seules valeurs qui tiennent sont le profit et le pouvoir ...
    Comment inverser la tendance ?
    Comment décider les gens à ne plus subir ?
    " Ce qui m'effraie, ce n'est pas l'oppression des méchants, c'est l'indifférence des bons. "
    Martin Luther King

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  2. C'est curieux ... en voyageant sur internet ce soir, j'ai trouvé complètement par hasard, un début de réponse à la question posée dans mon précédent commentaire, je vous le livre :

    " Le 24 avril de cette année, sur France Inter, un homme a pourtant rappelé, avec une force tranquille et une jeunesse d'esprit enthousiasmante que l'indignation était notre devoir commun.

    Cet homme, Stéphane Hessel, co rédacteur de la Déclaration des Droits de l'Homme de 1948, a aujourd'hui...92 ans.

    Pour Stéphane Hessel, il est un devoir de nous indigner face aux iniquités toujours plus grandes, face à un système devenu fou, face à la mise à l'écart de ceux qui ne gagnent pas, face à une finance triomphante mais au triomphe jonché de cadavres, face au désespoir d'une partie de la génération nouvelle.

    Et puis il fustigea, avec cette douceur qui le caractérise, la gauche apeurée de s'approcher du peuple par crainte de populisme. Apeurée et donc éteinte, sans colère, sans indignation.

    Enfin il rappela que ces colères et ces indignations devaient trouver leurs nouvelles formes adaptées à de nouvelles cibles. Les partis, le militantisme tels qu'ils sont ne sont plus que ce qu'ils étaient: un passé. C'est un nouveau monde politique et social qui s'ouvre à nous. Nos actions, nos discours, nos positionnements ne peuvent plus être ceux de ces années-là.

    Nous indigner en ciblant nos motifs d'indignation sont et seront notre honneur! "

    (article tiré du blog Prof en campagne)

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